La lutte ayant été interdite dans les plantations, les esclaves se servaient de cette danse pour régler leurs comptes. Il s'agissait :
L'auteur martiniquais Joseph Zobel, auteur de La Rue Cases Nègres a écrit en 1946 un
recueil de nouvelles
dont le titre évoque cette danse. On peut y admirer le talent de conteur de Joseph Zobel, qui n'a pas son pareil
pour décrire les corps en mouvement, le rythme des tambours, l'ambiance suvoltée autour des protagonistes.