En 1922, une loi agricole incita les Martiniquais à développer sa culture. Il s'agit :
Si pendant la première guerre mondiale on a assisté à un accroissement considérable de la production
(et du prix) du rhum, potion magique indispensable pour remonter le moral des poilus dans les tranchées,
l'année 1920 annonce le début de la crise pour les producteurs. On produit trop de rhum, les prix chutent et en
1922, on fixe des quotas d'importation en Métropole. Pour relancer l'économie en Martinique, il faut trouver
un produit plus rentable.