L'indigotier, cultivé en Martinique
au dix-neuvième siècle, fournissait l'indigo, de couleur :

rouge vif
bleu foncé
jaune pâle





    Un petit indice pour la route : les Touaregs utilisent depuis toujours ce colorant naturel pour teinter le long foulard qui les protège du vent et du soleil. En Martinique, on peut visiter les restes d'une indigoterie sur les terres de l'Habitation Anse Latouche, détruite par l'éruption de la Montagne Pelée en 1902 et restaurée par Jean-Philippe Thoze, créateur du Jardin de Balata.