La danse des coqs (page 9/9)

    Car au-delà du jeu, cette coutume reste profondément ancrée dans certaines sociétés. Pourquoi l'homme trouve-t'il plaisir à assister aux combats qui donnent la mort? Comment peut-il mener dans l'arène celui qu'il a tant choyé? L'intérêt du simple spectateur ne peut être apprécié de la même façon que celui de l'éleveur. Car celui-ci est impliqué personnellement dans la bataille. Le clan masculin se resserre autour du petit rond.
Géraldine Bourcier

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    Cet article est paru dans le nº5 de Mer Caraïbes Magazine. Je remercie ici sa rédactrice en chef, Christiane Calonne, et surtout Géraldine Bourcier qui m'a donné l'autorisation de publier sur ce site ses textes et photos. Je rappelle que, sans cet accord, toute publication de ces textes et photos est interdite, conformément à la loi du 11 mars 1957 sur la propriété artistique et littéraire.