Depuis des siècles, et malgré les interdits, une passion typiquement antillaise enfièvre
les îles de la Guadeloupe.
Aussi fort que la musique et le foot, les combats de coqs pimentent le quotidien des adeptes.
Au détour du chemin, dans un renfoncement, voici le "Pitt"!
Chacun arrive avec son coq sous le bras, fermement tenu. Il s'agit d'habitués. Leur démarche est sûre.
Dans une belle lumière de fin de journée, les joueurs de dominos assis là depuis des heures abandonnent leur parties.
C'est l'heure de la pesée. Sur l'un des plateaux, les poids, sur l'autre, le coq. L'aiguille de la balance oscille autour de 1,5 kg.
L'arbitre forme les paires selon le verdict de l'ustensile et note le nom et le gabarit de chaque participant sur un petit cahier.
Ainsi, les coqs semblables seront "mariés" et les enjeux fixés
Dans une belle lumière de fin de journée, les joueurs de dominos assis là depuis des heures abandonnent leur parties.